Articles

Affichage des articles du décembre, 2018

Une promenade dans la forêt sèche du Mont Venus

Image
Venant du chemin Jean Perrier, voici la vue du bout de la rue René Coty. Toute cette partie est couverte de faux mimosas. Le traitement attendra l'année prochaine ou les suivantes . Je suis la rue et j'arrive devant les arbres plantés par Francis Funel en face du 21, il y a fort longtemps. Je descends l'escalier fait par Francis. Nous allons nous diriger vers la droite. La zone sur la gauche va rester une jungle pendant encore longtemps comme je viens de le dire. Voici une des zones les plus anciennement traitées. J'emprunte ce chemin que nous avons fait cette année pour pouvoir évacuer les arbres coupés. On voit des plantations de part et d'autre du chemin. Au dessus de ce chemin, il y a un autre chemin beaucoup plus ancien et beaucoup plus large dont nous emprunterons un petit bout à notre retour. En dessous, il y a un autre chemin que l'on peut rejoindre par des escaliers.  En poursuivant le chemin, on voit un énorme dépôt d'ar...

Les Nouvelles du 18/12/2018

Image
  Accueil  >    Grand Nouméa  >    Nouméa  >   Les Sauveurs De La Forêt Sèche Du Mont Vénus Fondent Une Association Les sauveurs de la forêt sèche du Mont Vénus fondent une association A.-C.P. | Crée le 18.12.2018 à 04h25 | Mis à jour le 18.12.2018 à 07h28 A gauche, Christian Bernardi, président de l’association Forêt sèche Mont Vénus, à côté de Francis Funel, à l’origine de la structure, posant devant les arbres plantés par ce dernier il y a plus de vingt ans. Photos A.-C.P. ORPHELINAT. Regroupés au sein d’une association, des habitants du quartier luttent contre la prolifération de faux mimosas et de bambous, plantent de la forêt sèche et tracent des sentiers. L’objectif, à terme, est d’aménager un parc. « Il y a encore du boulot, s’exclame Francis Funel, qui habite rue René-Coty, au Mont Vénus. C’est un peu décourageant des fois, quand on regarde tout ce qu’il reste à fair...

Histoire de la forêt sèche du Mont-Vénus

Ce lambeau de forêt sèche de 4,5 hectares, propriété de la municipalité, idéalement placée dans Nouméa, a probablement subsisté parce que sa pente était trop forte pour faire des constructions. Il va sans dire que, de nos jours, avec le progrès technique, il est en fort danger d’être convoité par un promoteur. Ce morceau de forêt sèche a existe toujours, mais il était dans un état déplorable. Il s’est rempli de « faux Mimosas. Cette peste végétale, Introduite comme plante fourragère en 1855 en Nouvelle-Calédonie étouffe la forêt sèche. A cela, il faut ajouter les agaves et sur la partie nord de la parcelle, des bambous extrêmement envahissants. Enfin, les détritus (canettes de bières, bouteilles plastiques, cartons,etc...) faisaient de véritables dépotoirs. En 1986, quand Francis Funel et sa famille emménagent au 21 rue René Coty, ils ont devant eux un rideau de « faux mimosas » qui bouchent la vue de la baie de l’orphelinat depuis la rue René Coty. Fra...